Le Prix « Jeune chercheur » du Royaume d’Araucanie et de Patagonie

Le secrétariat privé de M. de La Garde a fait savoir récemment que le Royaume d’Araucanie et de Patagonie créait un Prix réservé aux jeunes chercheurs dans les domaines historique, géographique, des sciences naturelles ou des sciences sociales, se rapportant aux Peuples originaires.

 

En lien avec l’annonce relative au Prix des thèses du Royaume d’Araucanie et de Patagonie.

L’Académie d’Araucanie

L’Académie d’Araucanie a été créée. Elle vient compléter les activités culturelles et intellectuelles ordinaires du Royaume.

Elle recevra les candidats sur dossier ou candidature. Les  chercheurs, auteurs, enseignants et étudiants qui désirent être associés à ses travaux seront accueillis après un examen rapide de leurs sujets d’étude et d’intérêt.

Les demandes de dossiers peuvent être déposées par le contact d’Araucanie Info qui transmettra.

L’Académie d’Araucanie et de Patagonie (titre officiel) a vu le jour par décision du Chef de la monarchie royale d’Araucanie et de Patagonie, conduite par M. de La Garde, successeur direct du Prince Philippe d’Araucanie.

Elle sera reliée au secrétariat des études de l’Institut des Hautes Etudes Araucaniennes, créé au début 2015 dans le but de ressusciter l’Académie des Hautes Etudes d’Araucanie et de Patagonie créée autrefois sous l’impulsion du Prince d’Araucanie. Il faut préciser que l’Académie, contairement à l’Institut,  est consacrée à des travaux plus généraux, dans l’esprit qui est celui de l’érudition générale plutôt que celui de la recherche et des études scientifiques spécialisées. L’Académie peut donc recevoir des candidats présentant un bon niveau confirmé d’études générales.

Dix années en Araucanie – 1889 – 1899 ; Gustave Verniory

 

 

les Presses Universitaires de Rennes avaient consacré en 2013 une édition complète des œuvres de l’ingénieur belge Gustave Verniory consacrées à ce séjour, qui vécut en Araucanie à la fin du XIX° siècle pour construire le chemin de fer. Cette édition était effectuée et présentée par Angèle Martin et Paz Núñez-Regueiro, auxquels s’associait une troisième préface de Stéphane Martin.

L’ouvrage comporte  : Le voyage de Bruxelles à Santiago ; Mes débuts au Chili ; Quinze mois à Victoria. Avril 1889-juillet 1890 ; À la tête de la deuxième section à Lautaro ; Au service de l’entreprise Albarracín et Urrutia. 1er janvier 1892-août 1895 ; Entreprises personnelles ; La construction de la ligne Temuco-Pitrufquén ; D’Araucanie en Europe par Panama. Notes de voyage 1899 ; Annexe. Scènes indiennes d’Araucanie.

Institut des Hautes Etudes Araucaniennes

Nous rapportons quelques données relatives à l’Institut des Hautes Études Araucaniennes.

Cet organisme de recherche international est réservé aux chercheurs de haut niveau et s’ouvre à l’étude historique, géographique, culturelle et sociale, et à celle des sciences naturelles pour l’aire sud-américaine. Il est centré sur les questions Indiennes : Civilisations Mapuche, Inca, Aztèque, etc. et de tous les peuples Indiens.

Il va de soi qu’il est prioritairement axé sur les questions Indiennes relevant des espaces argentin et chilien et sur les questions liées à la colonisation et s’organise par sessions sur des thèmes prédéfinis.

L’Institut continue l’œuvre de l’Académie des Hautes Etudes Araucaniennes du Prince, qui avait existé autrefois durant de longues années. Il a été créé par son successeur, M. de La Garde.