La Sainte-Rose de Lima – Royaume d’Araucanie

Le Royaume d’Araucanie fait savoir que la fête traditionnelle de Sainte-Rose de Lima, n’est plus célébrée pour une période indéterminée à Tourtoirac.

Cette fête n’avait plus lieu d’être dans sa forme après le décès du dernier Prince. Désormais, tous les actes officiels du Royaume [à ne pas confondre avec des groupements fantaisistes qui organisent chaque année des réunions sans rapport avec le Royaume mais se présentent en son nom ], ne sont désormais plus établis à La Chèze, la résidence du défunt Prince Philippe.

L’autre fête est toujours maintenue dans la succession officielle du Royaume. Elle se place au mois de Mars (Anniversaire du Prince).

Maison Royale d’Araucanie : visite en Périgord

Après une visite privée du 18 au 19 août aux « Trois Jours pour l’Araucanie » le Chef de la Maison Royale d’Araucanie est arrivé au matin du 18 dans une voiture banalisée accompagné d’un officier de sécurité. Il a fait une apparition sur le parvis de l’Abbatiale, retrouvant quelques vieux amis personnels du Prince Philippe, tandis qu’à l’intérieur se tenait la messe au programme de l’équipe Parasiliti. S’il avait fait annoncer qu’il n’effectuerait aucune déclaration devant la presse, il a longuement répondu à des questions devant la camera filmant un documentaire privé, puis s’est éloigné peu avant 11 h afin de laisser le champ libre pour la sortie de l’Abbatiale. Après avoir salué brièvement le Maire de Tourtoirac, M. Durand, il s’est tenu à l’écart durant l’inauguration de la duplication du buste d’Orélie-Antoine 1er, un événement auquel il n’avait pas lieu de participer, n’ayant pas été invité.

A 15 h, invité par la Commune de Chourgnac d’Ans comme l’était aussi le représentant de la branche Stanislas, il était présent à l’inauguration du médaillon du roi, œuvre originale et de qualité installée à La Chèze.

Le 19, il a assisté (en tant que Fondateur des Amitiés Prince Philippe et non comme Successeur de la Monarchie) à la conférence du Comte de Catiray, un vieil ami du défunt Prince Philippe d’Araucanie, organisée par l’équipe n° 2. Cette occasion lui a permis de faire la connaissance directe de Stanislas 1er, porteur du titre de Prince d’Araucanie et chef de cette émanation du Royaume, avant de repartir.

M. de La Garde s’est déclaré pour Araucanie Infos globalement satisfait, et un peu moins d’un certain esprit qu’il a rencontré.

« Il faut reconnaître que les cérémonies publiques destinées à honorer la mémoire du roi Orélie-Antoine 1er ont nécessité un effort sincère de la part des organisateurs et elles ont rassemblé un certain nombre de visiteurs. Il est bon que les habitants avec enthousiasme aient voulu mettre en valeur le roi Orélie-Antoine, idée que j’avais émise dès 2014 et reprise cette année par le chef du groupe des Anciens. Cependant, il eût été plus judicieux – mais ce moment n’est-il pas prêt encore ? – d’envisager une organisation, et des cérémonies communes, conviant tous ceux qui, à un titre quelconque, ont un lien moral ou un lien de suite dans la succession d’Araucanie. La mémoire du Roi Orélie-Antoine n’appartient pas à un seul groupe…

Certes il demeure un effort important à fournir par tous les acteurs, qui à un titre ou à un autre détiennent ou estiment détenir une part de la succession araucanienne pour offrir à l’œil du public, notamment périgourdin, une vision d’unité ou du moins, celle d’un relatif concert autour du travail à accomplir pour les Indiens Mapuches. »

Le Secrétariat de la Maison Royale fournira un communiqué dans les jours qui viennent.

Les journées d’août 2016 du Royaume en Périgord

Le secrétariat du Royaume a fait parvenir une brève information pour les Journées d’Août.

– Tout d’abord, le Successeur du Prince Philippe avait déclaré dès août dernier, en 2015, que la célébration annuelle se tenant vers le 20 août, la 3ème semaine, n’existerait plus. Le principe retenu alors par le journal La Dordogne Libre pour l’article qu’il consacrait à M. de La Garde, était en priorité cette fête annoncée par d’autres organisations. Mais parmi les nombreuses allégations et insinuations très dépourvues de sérieux de ce qui avait été annoncé par ce quotidien comme une interview, l’article ne reprenait que très peu de ses déclarations aux questions posées par une journaliste, et en particulier rien n’était retranscrit de la suppression décidée par le Successeur de cette fête, des raisons de cette suppression, due entre autres à un calendrier incompatible avec les possibilités du public ; justement, dans l’esprit de s’ouvrir à la population en lui donnant la capacité d’y participer, ce dernier thème, que l’article reprenait.

Nous rappelons le programme auquel sont conviés ceux qui souhaitent participer aux animations ouvertes : on trouvera dès demain sur notre site le programme complet publié par l’équipe de Stanislas 1er, paru sur son site, consultable dès maintenant grâce à notre lien en contrebas [« Le programme complet des Trois Jours d’Araucanie » ], et que nous envoyons également à la presse.

Le secrétariat confirme que le Successeur pourra se rendre sur place le 18 août afin de profiter d’une partie des animations consacrées à Antoine de Tounens. Toutefois il ne s’exprimera pas devant la presse à l’occasion des Trois Jours pour l’Araucanie.

Nous passerons brièvement sur celles des activités de cette journée du 18 propres à l’équipe dissidente de M. Parasiliti di Para, constituée des anciens conseillers du Royaume, qui n’a plus aujourd’hui de lien véridique avec lui. L’animation culturelle, notamment les concerts, est mise en place par la commune de Tourtoirac et prend place dans la Semaine de la musique.

Le Chef de la Maison Royale assistera peut-être aux spectacles du 18. Il assistera le 19, invité par le groupe de Stanislas au titre de Fondateur des Amitiés Prince Philippe, à la conférence, à 17 h., au Relais d’Ans, effectuée par un invité de ce groupe, puisqu’elle devra évoquer la vie du défunt Prince.

Rappelons que le samedi 20 la journée traditionnelle de la Sainte-Rose autour du Prince Stanislas 1er débutera à La Chèze par la messe.

La Chèze, ancienne propriété du Prince d’Araucanie

Lieu historique entre tous, la propriété de La Chèze, à Chourgnac d’Ans, en Périgord. Située sur les terres de la famille de Tounens, cette propriété appartenait au Prince Philippe d’Araucanie.

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La propriété, et la chapelle de l’autre côté du chemin.

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La chapelle, surmontée des armoiries familiales des Boiry.

La plaque supérieure rappelle le Prince Philippe. Celle du milieu, sa seconde épouse, Elisabeth. La plaque inférieure rappelle le souvenir de la première épouse du Prince, Dominique.

Ces photos ont été prises par ©RoyaumeAraucaniePatagonie

Visite privée du Chef de la Maison Royale en Périgord

Le service d’information du Royaume a indiqué que le Chef de la Maison Royale d’Araucanie et de Patagonie a effectué une visite privée en Périgord.

Il s’est rendu à Périgueux et dans plusieurs localités, pour y visiter des amis, avant de se rendre à La Chèze, à Chourgnac d’Ans, l’ancienne résidence du Prince Philippe d’Araucanie, puis sur la tombe d’Antoine de Tounens, puis à Tourtoirac où il a retrouvé des personnes de connaissance, avant d’achever son voyage à Hautefort.

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La Chèze, à Chourgnac en Périgord

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(photo Hautefort notre patrimoine)

Cette demeure périgourdine, lieu essentiel du Royaume à Chourgnac d’Ans, a été aménagée et embellie par le Prince d’Araucanie. Il a agrandi les espaces habitables et a donné à l’ensemble l’allure d’une aimable gentilhommière.

M. de La Garde précise que ce n’était pas dans cette maison qu’Antoine de Tounens est né comme beaucoup l’ont cru. Les divers bâtiments, réservés à l’habitation ou à l’usage agricole, situés à La Chèze, constituaient la propriété des parents d’Antoine, légèrement plus étendue que la moyenne des propriétés paysannes de cette époque. La demeure, assez imposante reunissant le petit logis habité que l’on voit sur cette photo et les parties en forme de bâtisse situées à l’arrière, était le corps le plus imposant du petit domaine et pour cette raison il était désigné comme la maison familiale. A partir de là elle fut assimilée à la maison natale d’Antoine de Tounens.

L’historien Patrick de La Rode avait établi qu’Antoine de Tounens était né quelques dizaines de mètres dans une autre maison située elle aussi sur la  même propriété de la famille de Tounens. Il avait publié le résultat de ses recherches dans des revues culturelles périgourdines.