Note transmise par le Secrétariat du Royaume d’Araucanie.
Le texte qui suit émane du successeur du Prince d’Araucanie. Ecrit pour remettre en ordre les erreurs du journal local (Sud-Ouest Périgord) après plusieurs articles publiés au mois d’août, il n’a pas été à notre connaissance publié par le journaliste qui pourtant avait pris contact avec nous. C’est donc délibérément qu’il a refusé de tenir compte de notre position, puis a refusé de publier des rectifications que la loi exige lorsqu’elles sont demandées.
« J’ai effectivement créé début 2014 les Amitiés Prince Philippe mais, pour répondre à l’un des articles du 19 août, il ne s’agit pas d’une association. C’est à ce titre, et à celui d’une des personnes ayant un lien de succession direct avec la mémoire du défunt que j’ai été invité à écouter une conférence prévue par l’équipe de Stanislas pour le 19 août 2016, ce que j’ai fait avec plaisir comme avec tous ceux qui se comportent de façon honorable et polie… Puis, fin 2014, j’ai assumé par nécessité la pleine et entière succession du Prince Philippe à la tête du Royaume d’Araucanie et de Patagonie, recueillant et continuant les droits qu’il détenait. Première annonce publique, effectuée en Janvier 2015.
C’est l’occasion ici de dissiper un malentendu. Ma volonté de porter d’autres titres, comme Gardien et Recteur de la Monarchie d’Araucanie, plutôt que celui de Prince d’Araucanie, bien lourd à porter après une personnalité aussi haute que celle du défunt, est sans conséquence sur la fonction essentielle : qui est celle du successeur de la monarchie, dans laquelle je prends place après le Prince Philippe d’Araucanie dans la suite du roi Orélie-Antoine. Ces titres utilisés ont pu faire croire que je « pourrais être un éventuel prétendant », comme l’indiquait l’article du 26 août, (tandis qu’un autre quotidien me présentait en 2015 contre ma volonté comme « le 3ème roi »…) sans aucun fondement puisque j’assume déjà la totalité des fonctions du Royaume maintenues jusqu’à la mort du Prince Philippe.
Je suis venu à Tourtoirac observer les festivités du 18, que mes services ont annoncées à toute la presse périgourdine assez longtemps à l’avance, pour la raison unique que ce programme inhabituel débordait le cadre ordinaire des deux autres équipes et qu’il était consacré à Antoine de Tounens. Invité par la mairie de Chourgnac à l’inauguration du médaillon de La Chèze, (était invité aussi, le responsable du groupe Stanislas), je me suis abstenu d’assister à celle du buste, n’étant pas invité.